Plus de 20 ans que Carlos Sainz a remporté son dernier championnat du monde des rallyes avec une voiture innovante, une grande présence et une efficacité extrême: la Toyota Celica. Ainsi, il est né cette édition incroyable.

la cinquième génération Toyota Celica (Avec désignation interne Toyota T180 Series) Peut-être n’a pas été atteint en Espagne, les ventes les plus réussies où vous devez vous rappeler que Les ventes de Toyota ont été soumis à des quotas établis et négocié entre l’Union européenne et le Japon. Étant donné que ces quotas existaient, l’importateur du constructeur japonais, Bergé à l’époque, a préféré favoriser l’importation de modèles plus faciles à mettre sur le marché et non les voitures comme des segments de niche pourrait être la Celica. Cette politique a duré jusqu’en 1999, où le nombre de véhicules japonais vendus en Europe, qui jusque-là étaient d’environ 8% des ventes totales en Europe a été libéralisé.

Même comme ça, Toyota Celica a atteint les bien reçus grâce à Carlos Sainz contesté aux commandes de l’un d’eux le Championnat du Monde des Rallyes, et a remporté en 1990 la couronne de laurier avec un autre sportif Oriental, ces spécifications de T165 de cette année. La vérité est que ce temps peut être décrit comme difficile dans le commerce pour Toyota, car en plus de quotas, le yen est une monnaie très forte par rapport au dollar qui a fait les voitures en provenance de l’Est, ils avaient un prix légèrement plus élevé que il aurait aimé l’importateur et donc les acheteurs. Par exemple, la Toyota Celica nous apportons coût aujourd’hui au moment 5,540,000 pesetas (euros) 33,290.07, une quantité non négligeable et sûrement laissé beaucoup d’acheteurs déçus.

A titre commémoratif du Championnat du Monde des Rallyes 1992, deuxième dans la carrière de Carlos Sainz et fabricant, Toyota Europe a décidé de lancer une série spéciale de 5.000 unités 150 est destiné pour le marché espagnol. Autrement dit, une collection qui, et pour les questions sentimentales ou économiques, est devenu un véritable joyau de l’histoire du sport automobile moderne. Carlos Sainz versions de la Toyota Celica ST 185 peut dire que la voiture a émergé de la marque qui a contribué à normaliser les races unités et, de ceux-ci, Je venais juste assez pour être une voiture de rue autour. Il y avait des chapitres étendus de confort et de ce qui était recherché était l’efficacité, obtenue grâce à Madrid et champion dédié, parce que je dois dire que à cette époque, le Celica a franchi un pas derrière la Lancia Delta Integrale de: Ceux-ci ont été particulièrement favorisés pour leur faible poids, alors que Toyota avait sa principale garantie en matière d’aérodynamisme.

Comme acquis auprès d’un revendeur, vous pouvez dire que ce fut le muleto employant Carlos pour la reconnaissance des sections. En tant que tel, ce Celica spécial est une voiture qui appartient à une autre catégorie, est loin des sports modernes où les arguments progressistes comme la résilience ou mis en premier. Cette force de voiture pour mettre les cinq sens dans la conduite, mais en retour nous donne un maximum d’efficacité, vous permettant de profiter de chaque mètre qui fonctionne sur l’asphalte. De nombreux sentiments de sport vraiment.

Toyota Celica moteur 2.0 Turbo

la Moteur à deux litres, DACT et quatre soupapes par cylindre, la suralimentation du turbo et avec un refroidissement supplémentaire permet à l’échangeur, on a obtenu une puissance maximale de 208 chevaux à 6000 rpm régime, avec un niveau de couple maximum 28 mkg à seulement 4000 tours par minute. Et ce fut le meilleur de l’injection coupé avait pas moins de 7 200 tours par minute, ce qui lui a permis, en conduite sportive, l’utilisation d’engins deuxième et troisième. Ce ne fut pas un moteur très serré, son taux de compression est de 8,8: 1. la vitesse officielle était 230 kmh et une accélération 0-100 km / h en huit secondes.

Esthétiquement il y a des différences qui suggèrent que ce n’est pas une Toyota Celica normale: sur le capot prendre plus pour des raisons esthétiques que pour le refroidissement supplémentaire de l’intercooler, différents miroirs et des pneus surdimensionnés.

Toyota Celica Turbo 4WD 2.0: De quelle façon

Malgré les années, le son du moteur de cette Toyota Celica toujours délicieux, sonne comme « gras », mais, bien sûr, cette voiture avait beaucoup de voiture de travail. En plus de plus que le turbo intercooler, le collecteur d’échappement a été remanié de façon qu’il y avait moins de rétention et serait donc d’améliorer la respiration, qui est couplé avec un son plus captivant. Le radiateur de changement disponible pour le pétrole et sincros deuxième et troisième montée renforcée, qui nous dit que Il a été conçu pour une conduite sportive sur route de montagne. Tours du levier, plus petit dans cette version, ce qui entraîne également une touche presque course raccourcie.

dynamique, le secret de la traction de cette Celica spéciale Toyota Visqueuses laïcs du différentiel avant et arrière Torsen avec un crétin assez réussi. Avec les deux, le moteur est fantastique, et aujourd’hui continue d’attirer l’attention sur la façon dont il colle à l’asphalte. L’amortissement est ferme, mais change rien au confort des occupants et peuvent profiter des chemins de nos routes les plus courantes et des promenades tranquilles par zones de montagne sans asphaltes brisés ou endommagés entravera le confort.

Travailler ensemble (amortissement et habiletés motrices) et les réparations qui implique conduisent pas lui-même une voiture, la Toyota Celica Carlos Sainz donne un sentiment de manque de puissance, de ne pas courir, bien que nous ayons peut-être habitués au sport moderne avec plus de 250 ch … Mais ce qui reste est grande que les habiletés motrices, l’essieu arrière suit de près le tracé marqué par l’essieu avant, ce qui peut-être au fil des ans il lui a fait un peu plus doux que nous nous sommes souvenus. Bien sûr, si votre journée dans cette achacábamos voiture de tonnage excessive 1.460 kg, maintenant que le poids est similaire à celle d’une Volkswagen Golf, par exemple, de sorte que des sentiments similaires à convoie aujourd’hui. La carte a une grande précision dans l’orientation de l’extrémité avant, et peut-être pour un bon entretien et les dimensions sur votre site continue de montrer un manque de filtrage des mouvements parasites et incorrection remarquable d’asphalte.

Maintenant, si nous exploitons les capacités de cette sportivité Toyota Celica voir comment votre réservoir de carburant est épuisé, d’une capacité élevée pour son temps, 68 litres et bien au-dessus de la Lancia Delta Integrale, par exemple. Il homologué la consommation de carburant de 9 litres pour 120 km / h et 11,6 en parcours urbain, facilement surmontables peu que nous ne nous soucions pas avec le pied droit et nous aimons entendre le coup de sifflet souffler à la fois turbine lors du téléchargement pour passer à un nombre plus élevé de vitesse. Deux sons que si nous pouvons être très musical, devrait les décourager d’avoir des prix du carburant en ce moment.

sport japonais 100%

A l’interieur de Toyota Celica cette évolution qui ont subi des voitures japonaises est évidente pour entrer dans le marché européen. Les années ne sont pas passé en vain et viennent rapidement les mêmes sensations qui nous ont quittés il y a quelques années. Un plastique dur à l’intérieur de notre oeil « européanisée » ne semble pas bon, mais la qualité est indiscutable. Il a été maintenu en parfait état depuis, à l’exception de l’horloge turbo de pression qui a été complétée, si controversée, avec un autre dans le montant du conducteur.

la L’instrumentation est complète, mais pourtant simple, et divisé en trois zones: le centre avec la vitesse, dans les cuentarevoluciones droite et gauche sphère trois aiguilles (température de l’eau, la pression de suralimentation et le niveau des réserves de carburant). Ici, il est vrai que certains de ses adversaires ont offert plus d’informations au conducteur et, surtout, il avait imprimé une sportivité que les deux orthographes toucher l’ensemble de la présentation. La conception à l’époque était également tout à fait révolutionnaire, Il a dirigé un tableau de bord et contrôle le conducteur se concentre sur la partie supérieure du tableau de bord. Bien placé à la vue du conducteur et ne pas avoir à chercher la voiture comme dans certains modèles concurrents. qualité Toyota montre est des détails tels que l’absence virtuelle dans couinements et de petits sons à l’intérieur de l’habitacle et une bonne isolation acoustique, bien qu’il soit vrai que être une voiture des années 90, le moteur est tout à fait présent à l’intérieur.

Les sièges ont un design vraiment moderne, mais son sujet est la meilleure valeur qu’ils apportent. norme sur l’édition Rembourrage spéciale de la Toyota Celica Carlos Saínz est en faux cuir, mais glisse un peu. Ce qu’il est, il ne fait aucun doute la qualité de la matière, en dépit de ne pas être noble: près de vingt ans plus tard, pas de fissures et craquelée, quelque chose que son propriétaire a également eu beaucoup à faire.

Inutile de dire que ère Toyota Celica, de la première génération en 1972, un sport à part entière, par conséquent, les sièges arrière sont une simple excuse et occupent seulement possible sur une base occasionnelle, en plus de sa position, avec les jambes pliées et trop peu place pour les jambes, seulement souhaitable pour ceux de plus petite taille. et la chaussure, avec 292 litres, Il est purement symbolique.

son L’équipement est bon, Il ne manque les besoins en matière de confort. Cinq millions et demi pesetas inclus climatisation, direction assistée, rétroviseurs à réglage électrique, volant réglable et la hauteur du siège du conducteur banc pour une meilleure position de conduite et une cassette de radio. électronique de sécurité et de commencer à faire une apparition en plus de la transmission intégrale permanente toutes roues motrices disponible système de freinage antiblocage ABS.

Au volant de cette voiture, en revivant sensations et bénéficiant d’une conduite pur, pas de ceux qui sont atténués par l’électronique, on redécouvre qui était vraiment génial passé. Ce modèle a été en compétition au cours des saisons 92, 93 et ​​94 du Championnat du Monde des Rallyes, la réalisation dans tous les titre pilotes du monde, d’abord avec Carlos Sainz, puis avec Juha Kankkunen et Didier Auriol. La Toyota Celica est, après la Citroën C4 WRC Sebastian Loeb, le deuxième modèle avec plus de victoires dans le Championnat du Monde des Rallyes, et que les adversaires les plus coriaces que nous pouvons imaginer après le temps mythique du Groupe B face, c’est-à-dire, Lancia Delta HF Integrale, Ford Sierra Cosworth, Mitsubishi Galant VR4, Ford Escort RS Cosworth, Subary Impreza et Mitsubishi Lancer Evo II.

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