L’élégance et le bon comportement. Avec ces quatre mots sont parfaitement définit la Nissan Almera Tino 2.2 Di, le type de conduite de mini-fourgonnette compacte facilement et vous permet de voyager confortablement et rapidement. L’une de ces voitures qui ne déçoit pas, multidisciplinaire presque rien.

On remarque que Nissan Almera Tino compter. Soins qui est fait et la finition désigne cette voiture. Son image unique, à la fois intérieur et extérieur, combine très bien avec un cadre exquis et un moteur turbodiesel sans être merveilleux, fonctionne de manière plus que correcte, en particulier lors de la conduite en virages longue et assez haute vitesse.

La firme japonaise a décidé de prendre le moteur 2.2 diesel monte Tino Almera et modifier la version. Plus précisément, ils ont inclus un intercooler, un élément qui apporte la puissance de 110 ch nominale donnant Tino Almera 114 Etats. Bien sûr, ce chiffre est juste « officielle » parce que, soumis à la « machine de vérité » de notre test, ce moteur reconnaît un robuste 128 ch.

Le lecteur dispose d’un système d’exploitation de ceux qui semblent plaider « non sur mes genoux. » Si vous voulez donner le meilleur de vous-même, vous devez prendre assez grande vitesse. Délivre son couple maximal à 2740 tours, et non jusqu’à ce que les 2.000 tours lorsque l’on commence à montrer sa poussée, ce qui ressort de 2500. En vertu de ce régime, beaucoup plus besoin d’utiliser l’embrayage pour obtenir une réponse rapide.

Après avoir atteint un couple maximal, la arreón continue jusqu’à près de 4 000 tours. De là, il commence à perdre sa capacité. Cela nous donne une utilisation de la marge assez étroite, quelque 2.000 tours, qui doit jouer beaucoup avec le changement de tirer le meilleur parti de la voiture. Leur avantage Inutile de dire que l’on a toujours l’impression de conserver une certaine force sous la pédale d’accélérateur. Ne signez jamais d’épuisement.

Le moteur est associé à une boîte de vitesses routes précises, mais un peu rude au toucher. Dans un premier temps, très court, les frais de voiture pour se déplacer. Il est là, et le cinquième, où la plus notable est plus lourd que ses concurrents, avec 1512 kg.

Puis, une fois pris de la vitesse, nous avons un troisième engrenage très fiable pousser en avant et utilisé à fond dans les zones difficiles, entraînant la voiture avec facilité. Ensuite, il y a le quatrième, qui mérite un chapitre distinct. Forte et élastique comme bon acier, cette mars est tendue sans perdre l’équilibre. Jusqu’à tours et accélérer de façon uniforme. Si vous vous dépêchez, vous pouvez lancer la voiture à plus de 160 km / h sans perte de vitesse. Le cinquième, cependant, est un peu lâche. Bien qu’il ait été réduit de huit pour cent par rapport au développement offert dans le Almera, son plus de 47 km / h à 1000 tours restent longtemps. Il remarque lors d’un dépassement presque impossible à manœuvrer en cinquième. Il est toujours nécessaire de descendre à la quatrième.

Ce long développement devrait contenir la consommation, mais il est exceptionnel. Les travaux sur la route, seul endroit où le cinquième est urgent, passer autour de sept litres et demi. Dans un turbodiesel c’est pas une bonne affaire, mais pas mal.